• Je voulais vous faire découvrir ce concept tout nouveau qui va faire énormément de bruit, je rentre du monde chaque jour c'est de la folie, je vous laisse une courte vidéo  

    LANCEMENT DE LA PLATEFORME D' ENCHÈRES LE 18/10/2014 En savoir plus sur notre vente aux enchères hybride dans cette vidéo ! Vous pouvez vous inscrire Gratuitement avec ce lien.... https://annie16.conligus.org/..

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  • Une bonne piste pour guérir l'arthrose

    Bonjour,

    Vous avez sans doute repéré fréquemment dans nos newsletter la signature de Dominique Vialard.

    Il collabore en effet régulièrement à cette newsletter et il m'a proposé cette semaine un article de fond imprévu.

    Je lui dis : "Non, Dominique, ce n'est pas cela que mes lecteurs veulent lire. Ils veulent des conseils de santé, pas du blabla sur les comptes de la Sécu (parce que son texte parle des comptes de la Sécu...)".

    Il me répond, "je te l'envoie quand même"...et je viens de le recevoir...

    Je lis et je découvre un Dominique épicier.

    Un Dominique qui compte les sous de l'assurance maladie au creux de sa main.

    Je lis et je comprends enfin, de quels montants il s'agit.

    Si on avait toute cette somme dans son porte-monnaie, on saurait se soigner correctement.

    Lisez son calcul d'apothicaire car ce n'est pas du bla-bla sur les comptes de la Sécu comme on peut en entendre partout.

    Je le publie, mais, comme il ne s'agit ni d'une pathologie, ni d'une méthode de santé, ni d'un nutriment, ni de la vie d'un chercheur... je le publie en édito.

    Bon maintenant je vous laisse lire :

    170 euros pour combler le déficit de la Sécu

    "Le déficit de la Sécurité sociale (régime général) va s'aggraver en 2015, nous dit-on dans tous les médias.

    Partout, à la télé, dans les journaux, tout le monde commente l'ineffable à coups de milliards manquants par-ci, de milliards en moins par-là.

    On cause, pêle-mêle, maladie, vieillesse, famille…

    On jongle avec des masses financières tellement énormes, tellement abstraites qu'on ne sait plus de quoi on parle.

    Et on prend des mesures qui s'empilent d'année en année.

    Cette année, on taille dans la politique familiale…

    Et on va voir ce qu'on va voir avec "la rationalisation des dépenses hospitalières", la "baisse des prix des médicaments", etc. etc. Toutes mesures "sans précédent"… et, comme d'habitude, sans effet.

    Faute de données à "taille humaine", ce débat de pure macro-économie tourne sur lui-même. Ceux qui voudraient comprendre et agir en citoyens bien informés n'ont qu'à aller voir ailleurs ! Je vais donc tâcher de faire ce que d'autres médias devraient faire, rendre accessible un problème qui nous touche tous.

    Tout le monde sait combien perd la Sécu (nous y serons de notre poche pour 15 milliards d'euros, dont 10 milliards sur les dépenses de santé), mais qui sait combien il dépense, lui-même, pour sa santé ?

    Qui sait combien il coûte au système et comment il pourrait coûter moins ?

    On se dit que la réponse est facile à trouver.

    Cherchez vous verrez… il faut fouiner longuement dans de laborieux rapports publics, ces infos sont délivrées de manière parcellaire et leur présentation ou leur mode de calcul diffèrent (c'est le cas entre les Comptes nationaux de la santé et les Chiffres-clés de la Sécurité sociale mis en avant par le ministère des Finances) si bien qu'on se perd facilement.

    Pourquoi communiquer simplement quand on peut faire compliqué ?

    Voyons donc les choses par le petit bout de la lorgnette.

    D'abord une simple division.

    En 2014 la Sécu aura dépensé à la louche 180 milliards d'euros en soins et biens médicaux. Avec 60 millions de Français bénéficiaires du système, cela veut dire que la Sécu a dépensé environ 3 000 euros par Français.

    Gardons en tête cette somme : 3 000 euros. En 2013 la Sécu perdait de l'argent (7,7 milliards d'euros pour la branche maladie). Donc 5% des 180 milliards.

    Cela signifie qu'on ne devrait pas dépenser 3 000 euros pour que le système de santé retrouve l'équilibre.

    Disons que cette "enveloppe de soins" ne doit donc pas dépasser les 2 800 euros.

    C'est le chiffre-clé, le seul qui devrait nous intéresser.

    A la lecture de ce montant chacun peut se situer et savoir d'emblée s'il participe au fameux déficit, s'il est "dans les clous" ou au mieux s'il est économe.

    Et si vous ne parvenez pas à trancher, allez voir sur votre compte Ameli sur Internet à la rubrique "Mon relevé annuel" : ici le calcul de la Sécu est clair !

    Rapporté à chaque bénéficiaire, le déficit représente en réalité 170 euros de trop, une économie en théorie facile à faire même pour les plus malades (qui coûtent en général bien plus que 2 800 € par an), et ce sans qu'il soit nécessaire de réformer quoi que ce soit.

    Pour info, ces 170 € ce n'est même pas le prix d'une IRM…

    Et je ne parle pas des médicaments que le Français moyen (sont exclus les lecteurs avertis que vous êtes) jette ou oublie dans le placard de sa salle de bains.

    Donc, on peut parfaitement imaginer que si des millions de Français faisaient chacun un geste d'économie, la Sécu tiendrait la route.

    Mais croire que c'est possible par le seul volontarisme est une idée folle dans un pays où la conscience citoyenne s'applique à tout ou presque, mais pas à la santé.

    Affaire de droits, d'acquis, et très secondairement de devoirs. Soyons citoyens, oui, pour le tri sélectif des ordures, pour notre santé non ! J'exagère à peine…

    Pourtant, un nombre croissant de Français se soignent autrement, de façon consciente et responsable.

    Ceux-là (vous sans doute) se situent bien en-deçà de la moyenne des dépenses nationales car ils soignent prioritairement leur santé (plutôt que d'attendre la maladie) et prennent autant soin de leur esprit que de leur physique.

    Ceux-là participent déjà à boucher le trou de la Sécu. Consulter un naturopathe, se soigner par les plantes, coûte cher aujourd'hui compte tenu du non-remboursement.

    En se soignant majoritairement de cette façon on cotise à fonds perdus à la Sécu… ou on la renfloue... question de point de vue.

    Si la Sécu voulait vraiment en finir avec son sempiternel "trou", elle s'appuierait logiquement sur ces alliés objectifs qu'elle persistent à traiter en ennemis !

    Mais revenons à la base, à ces 2 800 € de dépenses de soins annuelles que l'on ne peut raisonnablement pas dépasser. Comment favoriser un comportement responsable du citoyen ?

    Les idées ne manquent pas, plus savantes les unes que les autres, mais j'en retiens une, celle pour laquelle milite le Dr Arteil, chirurgien dentiste énergéticien et fervent défenseur des médecines complémentaires, sur la base d'une proposition émise par le syndicat FO il y a déjà longtemps.

    Il s'agirait de responsabiliser le bénéficiaire de la Sécu et de le rendre autonome.

    Comment ? En lui attribuant un budget de dépenses annuelles plafonné et reconductible d'année en année, et en reconnaissant, en contrepartie, sa liberté de choix thérapeutique en remboursant toutes les médecines complémentaires à sa disposition.

    La personne sait ce dont elle dispose, libre à elle d'en faire le meilleur usage et de se soigner comme bon lui semble.

    Ce système pourrait s'appliquer à toute personne qui ne rentre pas dans un dispositif de soutien.

    Les personnes en longue maladie ou bénéficiaires de la CMU resteraient entièrement couvertes et ne verraient aucun changement.

    Pour qu'il en soit ainsi, les 2 800 € seraient amputés d'environ 1 300 €. Resteraient alors 1 500 € à dépenser à sa guise.

    Ce montant de 1 500 € pourrait d'ailleurs facilement être rehaussé jusqu'à 2 000 ou 2 500 € avec la mise à contribution des mutuelles de santé qui seraient amenées elles-aussi à intervenir autrement.

    Chaque bénéficiaire aurait, disons une enveloppe de 2 000 € par an qu'il utiliserait comme un "capital santé" :

    Jusqu'à ce plafond de 2 000 € toutes ses dépenses de santé seraient prises en charge à 100% : consultations, soins, examens, etc. Au bénéficiaire d'arbitrer chaque année sur les dépenses exceptionnelles selon ses besoins (dentisterie, optique : on ne change pas de lunettes ou ne fait pas un bridge tous les ans !).

    Il serait libre de choisir son thérapeute avec une prise en charge totale des actes : généraliste, spécialiste, ostéopathe, homéopathe, naturopathe, MTC, Ayurvéda, magnétiseur...

    Idem pour les médicaments voire d'autres remèdes et compléments alimentaires dont on sait qu'ils sont consommés à 90% par les patients des médecines douces (contre 60% en allopathie).

    En cas de dépassement du plafond, son enveloppe serait réduite d'autant l'année suivante (et inversement augmentée d'autant en cas de sous-utilisation).

    Ses arrêts-maladie ne seraient plus pris en charge par le système d'indemnités journalières en dessous de 8 jours.

    Dans ce système la Sécu, qui continue à percevoir ses recettes normalement, n'intervient que pour des remboursements de base à travers un système comptable simplifié et allégé (elle gère une enveloppe à partir de factures), y compris sur les arrêts maladie de courte durée fréquents et lourds à gérer (comptabilité, indemnisation, contrôles).

    L'économie de gestion est évidente pour la Sécu (qui pourrait réorganiser son effectif vers la médecine de prévention, par exemple) tandis que l'incitation à l'économie est réelle pour le patient qui devra gérer son "capital santé" comme il gère sa voiture ou sa maison, en responsable.

    En matière de médicaments par exemple chacun ferait bien plus attention sachant qu'il le "paye" de sa poche.

    Même chose pour les Urgences que l'on éviterait alors si le coude du gosse est râpé (50% des urgences actuelles n'en étant pas).

    Sans parler du congé maladie pris pour l'ouverture de la pêche…

    La France pourrait ainsi économiser des dizaines de milliards d'euros et en finir avec le trou de la Sécu.

    Le bénéficiaire serait entièrement autonome, libre de se soigner, avec un budget personnalisé. Il irait sûrement plus volontiers vers d'autres approches thérapeutiques.

    À ceux qui décèlent des failles dans ce raisonnement, je réponds par avance que :

    Bien sûr ce dispositif demanderait un redéploiement partiel des moyens et un temps d'adaptation. Sans doute 2 à 4 ans, 5 ans peut-être pour que le système bascule entièrement.

    Bien sûr, aussi, rien de tout cela ne serait possible sans la mise en place d'un système de prise en charge à inventer pour ce qui relève des grandes urgences, des accidents ou des maladies non chroniques entraînant des soins coûteux.

    Mais pourquoi pas ? Au regard de l'économie réalisée, cette couverture exceptionnelle resterait mineure.
    Et le système de solidarité serait préservé.

    Même s'il n'est pas bon d'avoir des idées dans ce pays, celle-ci a le mérite d'être simple et envisageable. Il ne s'agit pas de tout casser, seulement d'aménager.

    Et sans révolutionner un système louable, on révolutionnerait ainsi les mentalités et notre vision de la santé.

    À cette idée on pourra encore objecter des milliards de choses, mais comme personne ne s'en inspirera, disons que tant que l'on ne l'essaiera pas…"

    Voilà, c'est dit, merci Dominique...

    Bon alors passons à quelque chose qui ne relève pas de la proposition mais qui ramène à la pratique.

    Si vous avez été victime d'un choc à une articulation, lisez l'article qui suit. Michel Dogna y parle du spasme des muscles qui, en réaction à un choc, se sont contractés au point de ne plus se détendre... jamais.

    Empêchant l'ouverture complète du bras ou de la jambe, provoquant des raideurs... puis de l'arthrose... Ceux qui ont vécu cela pensent qu'ils resteront ainsi toute leur vie. Michel Dogna a un thérapeute à leur conseiller.

    Prenez soin de vous......

    Roses1600.

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     Source, Alexandre, Imbert , roses, 1600.

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  • Tartare de poisson fumé aux herbes et bavarois de fromage blanc

    ENTRÉE 

     

      Couverts : 4 personnes

      Temps : Préparation : 60 min

       Difficulté : très facile 

     

    Ingrédients.

     

     200 g de fromage blanc

    1 tranche de saumon fumé

    1 tranche de flétan fumé

    1 tranche de haddock cru

    2  tomates   

    2 feuilles de gélatine

    1/2 gousse de vanille

    1 cuillère à soupe de jus de citron vert

    sel

    30 cl de crème liquide (30% de matière grasse)

    1 pincée de piment d'Espelette

    1 cuillère à soupe de ciboulette

    1 cuillère à soupe de coriandre

    fleur de sel de guérande

    sel, poivre

    1 tranche de lieu fumé

    1 pincée de safran en poudre

    2 citrons verts

    1 cuillère à soupe d'huile d'olive

    Recette

    Pour le bavarois de fromage blanc :

    Fouetter 20 cl de crème liquide énergiquement jusqu'à ce qu'elle tienne

    aux branches du fouet.

    Déposer les feuilles de gélatine dans de l'eau froide afin de les ramollir.

    Les placer dans une casserole, verser la crème restante.

    Faire fondre à feu doux.

    Gratter l'intérieur de la gousse de vanilles à l'aide de la pointe d'un couteau

    et récupérer les graines.

    Dans un saladier, déposer les graines de vanille, le piment d'Espelette,

    verser le jus de citron et ajouter le fromage blanc.

    Mélanger et verser le contenu de la casserole.

    Assaisonner.

    Incorporer délicatement les crème fouettée.

    Répartir dans des ramequins et placer au frais 1 heure minimum.

    Pour le tartare de poissons fumés aux herbes :

    Monder les tomates, les couper en deux, les épépiner.

    Tailler la chair en petits dés.
    Laver, égoutter et couper les herbes en petits morceaux.
    Presser les citrons, récupérer le jus.
    Couper en dés les tranches de poissons fumés, les placer dans un saladier

    avec les tomates, ajouter le safran, et assaisonner.

    Verser le jus de citron, l'huile d'olive et ajouter les herbes.

    Bien mélanger.

    Démouler les bavarois sur assiette, accompagné d'une quenelle de tartare

    de poissons, parsemer de fleur de sel.

    Conseils

    Commentaire du Chef :

    Le tartare de poisson fumé peut être réalisé de la même manière avec du poisson non fumé ou des légumes (asperges, tomates, poivrons...).

    Au Pays Basque, le piment d'Espelette remplace le poivre.

    Il permet de relever tous les plats à base de tomate, les potages, les viandes en sauce, le boudin, le guacamole...

     

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    Source, madame, figaro, cuisine, roses, 1600.

     

     

     

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  • Si vous prenez la pilule, il faut que vous lisiez ça

    Bonjour,

    Si vous êtes une jeune femme, une maman et même une grand-mère, vous devez lire sur notre site l'article du Pr Joyeux et de Dominique Vialard sur les pilules contraceptives... toutes les pilules, et pas seulement celles de troisième génération.

    Vous comprendrez sans doute qu'on n'a pas osé vous dire la vérité, depuis leur création... il y a 50 ans !

    Lorsque l'on a commencé à dénoncer les effets nocifs de la pilule de 3 ème génération, j'ai demandé à Dominique Vialard d'interviewer Henri Joyeux, professeur de cancérologie à la faculté de médecine de Montpellier, sur les dangers de cette pilule.

    Je savais qu'Henri Joyeux était très critique sur les méthodes de contraception féminine et je m'attendais de sa part à une réaction sans concessions à l'actualité.

    Je n'imaginais pourtant pas à quel point ce sujet lui tenait à cœur.

    Ce qui ne devait être au départ qu'un simple article dans notre newsletter s'est progressivement transformé en un livre qui sortira le mois prochain aux Editions du Rocher dans lequel Henri Joyeux n'hésite pas à attaquer de front toutes les pilules contraceptives, quelle que soit leur génération, et toute la contraception hormonale.

    Pour certaines d'entre vous, je sais, le mal est déjà fait, mais pour la jeune génération, il est possible d'éviter le pire.

    Je compte donc sur vous pour faire circuler cet article de Dominique Vialard et Henri Joyeux afin que les femmes et les couples puissent faire un choix de contraception éclairé.

    Il y a maintenant des méthodes naturelles basées sur les biotechnologies, qui atteignent des taux de "réussite" supérieurs à ceux de la pilule.


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    Source,Alexandre,Imbert,roses,1600

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  •  

    Connaissez-vous l'acrylamide ?

    Bonjour,

    Connaissez-vous l'acrylamide ? Non ? Eh bien l'acrylamide, elle, vous connaît !
    Cette molécule est soupçonnée depuis longtemps d’avoir des effets neurotoxiques mais aussi de provoquer ou d’accélérer la survenue de cancers hormono-dépendants (le cancer du sein en particulier).

    Elle est donc classée par l’OMS comme substance présentant des risques pour la santé humaine.

    On s'est ainsi aperçu il y a une vingtaine d’années qu'elle se forme spontanément lors de la cuisson à haute température (plus de 120 degrés) d’aliments riches en sucre (comme les féculents) et en protéines.

    Il n’a pas fallu longtemps pour en déduire que des produits alimentaires aussi courants que les chips, les frites, le pain, les biscuits, les céréales du petit-déjeuner mais aussi le café (instantané en particulier) ou les amandes grillées en contenaient des quantités importantes.

    Elle est aussi présente dans la quasi-totalité des plats préparés cuits à haute température (pour éviter les contaminations), mais elle apparaît aussi sur toutes les viandes que nous faisons griller brutalement (au barbecue par exemple).

    En Europe, les autorités de santé sont parfaitement au courant du problème et elles ont demandé discrètement aux industriels de mettre en œuvre des procédés capables de réduire la présence de cette molécule dans leurs produits.

    Cet appel aux bonnes volontés a été fait en 2007, mais depuis, on n’a rien constaté de bien convaincant.

    Dans son dernier rapport sur le sujet, paru en 2011, l'Autorité européenne de sécurité alimentaire (EFSA) avoue :

    « En comparant les données de 2007 avec celles de 2009, on a pu observer une tendance à la diminution des niveaux d’acrylamide pour seulement 3 groupes d’aliments sur 22 (diminution de l’acrylamide dans les biscuits salés, les biscuits pour enfants et les pains d’épice).

    Sur la période de surveillance de trois ans, il a été montré que les taux d’acrylamide ont augmenté dans le pain grillé suédois (Knäckebrot) et le café instantané et sont restés inchangés dans plusieurs autres groupes d’aliments ».

    Bravo les bonnes volontés !

    Une étude récente réalisée par le Danish Cancer Society Research Center montre désormais l’urgence de la situation.

    Cette étude a concerné 25 000 femmes ménopausées.

    Elles ont été suivies pendant la période 1993/1997.

    Quelque 420 d’entre elles avaient contracté un cancer du sein en 2001 (110 en sont mortes depuis).

    Or les chercheurs ont constaté que les femmes qui avaient le plus d’acrylamide dans le sang avaient plus de risques d’avoir un cancer (+63%) que les autres.

    Ce scandale de l’acrylamide ne tardera pas à éclater.

    D'ici là, il nous enseigne au moins une chose : il faut pratiquer les cuissons douces, manger des produits frais et si possible, privilégier l’alimentation vivante (crue).

    Tant pis pour le barbecue, les viennoiseries, les biscuits apéritifs et le café lyophilisé.

     

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    Source,Alexandre, Imbert , roses, 1600

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