• Maltraitance en Maison de retraite

    Deux malades d'Alzheimer victimes de mauvais traitement

    Une enquête a été ouverte après la découverte de deux cas de maltraitance dans une maison de retraite de Meurthe-et-Moselle. Les 2 résidentes, souffrant de la maladie d'Alzheimer, étaient maintenues entravées dans leur lit.

    Les mains attachées entre elles et au lit au moyen de gants de toilette scotchés par des sparadraps, c’est ainsi qu’a été découverte une femme âgée de 89 ans, malade d’Alzheimer et résidente de l'Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) de Saint-Nicolas-de-Port.

    Suite à un signalement anonyme, deux professionnels de santé effectuaient en effet un contrôle le 28 mai dernier dans cet établissement où ils ont mis au jour ces faits de maltraitance.

    Ils seraient « avérés » pour deux résidentes, comme l’a admis le directeur de l’établissement auprès de l’AFP. Une enquête judiciaire est en cours suite au signalement de ces

    « faits graves » par la direction de la maison de retraite et à a plainte pour

      « maltraitance sur personne vulnérable » déposée par le fils de l’une des femmes maltraitées.

    Les deux victimes souffrent de troubles cognitifs importants qui les empêche de témoigner des souffrances qu’elles ont pu subir. Mais une enquête interne a déjà abouti à la suspension à titre conservatoire de deux employés de la maison de retraite soupçonnés pour l’une d'être à l'origine des maltraitances et pour la seconde de ne pas les avoir signalées.

    L’association des directeurs d’établissements pour personnes âgées (AD-PA) a appelé à sanctionner tout fait de maltraitance avéré tout en rappelant que

    « ce type d’événement dramatique reste toutefois exceptionnel puisqu’il relève de dysfonctionnements individuels et isolés ».

    Malgré tout on en vois souvent moins violant mais oui il y en a, surtout verbal ou on les calmes !!!! Je sais de quoi je parle ayant travailler en Maison De Retraite. Cela n'engage quoi moi c'est mon avis personnel

     

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    Sources pourquoi docteur roses sérénité 

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    Quelques conseils, comment éviter les accidents de la FOUDRE

    Quelques conseils, comment éviter les accidents de la FOUDRE

     

    RARES. Être frappé par la foudre...

    Pareils accidents sont rares : faute d’un recensement très précis, on estime que 50 à 100 personnes chaque année sont foudroyées. Certaines en gardent des séquelles et 20 à 30% en meurent, soit 16 décès en moyenne (données Inserm).

    Sachant que la France reçoit chaque année un million de coups de foudre au sol, la probabilité qu’une personne soit touchée est donc faible, même si les chiffres sont vraisemblablement sous estimés. C’est le plus souvent en montagne ou près des côtes que se produisent les foudroiements, qui ne durent que 10 à 20 millisecondes.

    La physique de l'éclair

    DÉCHARGE ÉLECTRIQUE.

    Le nuage orageux est bourré de charges électriques avec une répartition bien spécifique : les charges positives se concentrent plutôt au sommet du nuage, les charges négatives à la base. Au sol, sous le cumulonimbus, les charges positives remontent vers la surface, attirées par leurs contraires.

    Quelques conseils, comment éviter les accidents de la FOUDRE

    Lorsque des charges électriques négatives descendent du nuage, elles cherchent à rejoindre le sol au plus court : l’air étant un isolant, elles profitent de tout ce qui leur offre une moindre résistance électrique pour rejoindre le sol – comme un arbre par exemple.

    Lorsque la rencontre se fait en un point de contact solide (l'arbre, le plat d'un terrain ou même un avion), c’est le coup de foudre.

    La décharge électrique rencontrant une résistance électrique au point de contact, un dégagement de chaleur intense se produit : c’est l’effet joule.

    La température peut monter jusqu’à 30.000 °C.

     TRAVERSÉ PAR LE COURANT.

    Un organisme humain debout et isolé, comme sur une plage, offre un bon raccourci pour cette décharge électrique descendante.

    Les systèmes vasculaires et nerveux seraient de bons conducteurs. La peau offre d’autant moins de résistance qu’elle est mouillée.

     "Un point noir en dessous de la poitrine"

    Lors de ces foudroiements, le courant électrique peut traverser le corps ou s’écouler sur la peau.

    Si le courant passe par le cœur il peut provoquer un arrêt cardiaque.

    Comme le rapportait au micro de RMC, à l'été 2012, Émilie Renard, pompier-volontaire intervenue à Oléron pour sauver une femme foudroyée, la victime avait un point noir en dessous de la poitrine, qui indique le point d’entrée de la foudre sur elle, et un deuxième point, situé au niveau des pieds.

    Point d’entrée et point de sortie de la décharge qui veut gagner le sol au plus vite.

    PREMIERS SECOURS. 

    Le danger de cette électrocution – ou fulguration- dépend de l’intensité du courant et de la durée du passage.

    Au niveau des nerfs, le courant peut entraîner un coma et un arrêt respiratoire de quelques minutes ou quelques heures.

    Dans ces cas-là, les premiers gestes de secours sont la réanimation cardio-respiratoire (bouche-à-bouche et massage cardiaque).

    L’échauffement lié à la résistance rencontrée par le courant électrique provoque également des brûlures, sur et sous la peau. Les bons comportements

    ATTENTION AU FOUDROIEMENT INDIRECT.

     Lorsqu’on est surpris à l’extérieur par un orage, il faut éviter la proximité des arbres, qui offrent aux éclairs un raccourci vers le sol, et préférer un abri rocheux ou une voiture.

    En rase campagne, faute d’abri, il ne faut pas rester debout mais se faut se pelotonner au sol, jambes repliées, sur un matériau isolant comme un ciré ou du plastique si possible.

    La fuite est tentante mais marcher à grands pas peut entraîner un foudroiement indirect.

    En effet, à proximité d’un impact de foudre, le courant électrique s’écoule dans le sol et entre deux points de contact proches (comme deux pieds) il se crée une différence de potentiel.

    Une personne, ou un animal, peut ainsi être traversé par le courant.

    Il faut également prendre garde à ne pas toucher une pièce métallique qui est conductrice en cas de coup de foudre, ou les murs d’un bâtiment isolé qui n’a pas de paratonnerre.

    Enfin, au sein d’un groupe pris dans un orage, il ne faut pas littéralement se serrer les coudes mais s’écarter d’au moins 3 mètres les uns des autres, car le foudroiement peut se propager de façon latérale entre deux personnes.

     

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    Source Sciences et Avenir

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    CitrActif est un complément alimentaire utile au quotidien.

    CitrActif est un complément alimentaire utile au quotidien.

     

    Ingrédients CitrActif

    Extrait de péricarpes de Pamplemousse

    Sirop d’Agave

    Vitamine C

    Extrait de Pépins de Pamplemousse

    Stabilisant : Glycérine

    Sa forte concentration en Vitamine C permet à CitrActif de participer à un fonctionnement normal de notre système immunitaire. Le système immunitaire correspond à l'ensemble des mécanismes de défenses de l'organisme. Ces défenses immmunitaires sont importantes pour nous prémunir contre les infections et conserver une bonne santé.

    L'extrait de pépins de pamplemousse est un anti-inflammatoire, anti-viral et anti-infectieux.

    Traitement naturel ayant un incroyable spectre d'action pour lutter contre les infections en tous genres (mycoses etc.)

    Les propriétés des bioflanovoïdes de l'Extrait de Pépins de Pamplemousse Originel ont un intérêt tout particulier dans la lutte contre les germes infectieux et pour le maintien des bonnes défenses naturelles.

     L'Extrait de Pépins de Pamplemousse s'utilise:

    - contre les bactéries et les champignons, mycoses, levures, parasites en tout genre

    - en cas refroidissements, virus, états grippaux, fatigues chroniques, baisse immunitaire.

    Par un procédé n'utilisant aucun solvant chimique, les précieux bioflavonoïdes sont directement extraits, naturellement, des pépins de pamplemousse dans la plus haute concentration possible, par un mélange glycérine végétale et eau.

    L'E.P.P., extrait de pépins de pamplemousse, ainsi obtenu a un aspect huileux, ce qui lui vaut d'être appelé parfois: huile de pépins de pamplemousse.

    Présentation :

    Flacon goutte de 50 ml

    Conseil d'utilisation :

    Prendre 15 à 25 gouttes dans de l'eau 3 fois par jour.

    Complément alimentaire. A consommer dans le cadre d'un régime alimentaire varié et équilibré et d'un mode de vie sain.

     

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  • Le CHU de Rennes se débarrasse de médicaments encore... valables !

    Le CHU de Rennes se débarrasse de médicaments encore... valables !

    Seulement cela se produit dans d'autre établissement autre que Rennes !!!!

    Santé

    Depuis quatre ans, l'établissement jette à la poubelle des centaines de boites non périmées, au grand désespoir des syndicats.

    La faute à un système informatique compliqué qui tombe régulièrement en panne.

    « C'est une souffrance pour nous », se désespère un des employés de la pharmacie centrale du Centre hospitalier universitaire de Rennes (Ille-et-Vilaine).

    Depuis quatre ans, il assiste, impuissant, à un immense gâchis de médicaments et de dispositifs médicaux non consommés et non périmés.

    Plusieurs tonnes de marchandise auraient été incinérées selon les Syndicats,  pour qui la pilule a du mal à passer.

    « Ce sont plusieurs centaines de milliers d'euros qui sont parties en fumée depuis la création de la nouvelle pharmacie centrale il y a quatre ans », 

    Dénoncent les représentants de Sud-Santé -Sociaux.

    Au moins deux fois par mois, plusieurs caisses seraient placées pour destruction dans les conteneurs destinés aux produits périmés. « On part le soir et, quand on revient le lendemain, il n'y a plus rien. Certains flaconnages représentent un mois de salaire d'un contractuel. Imaginez quand il y en a 10 qui disparaissent ! C'est très dur à vivre d'un point de vue éthique et psychologique », explique l'employé de la pharmacie, qui souhaite garder l'anonymat.


    Des non-périmés dans les poubelles

    pour périmés


    Les dysfonctionnements du système adopté par la pharmacie en 2010 expliquent en grande partie ce gaspillage.

    Au moment de passer commande de son nouveau bâtiment et du processus industriel auprès de H'Ennez, une filiale du constructeur Eiffage, l'hôpital aurait sous-dimensionné ses besoins.

    Les problèmes commenceraient dès la livraison des médicaments et des dispositifs médicaux le matin. Selon les syndicats, les prestataires utilisent des palettes qui ne sont pas reconnues par le robot Magmatic qui les range ensuite au sous-sol.

    Les agents de la pharmacie sont donc obligés de reconditionner les marchandises sur des palettes adéquates, aux normes européennes, ce qui retarde le tri et l'envoi des produits dans les services. Les difficultés continuent au moment de rentrer les commandes.

    Le système informatique fonctionne avec pas moins de trois logiciels différents qui tombent régulièrement en panne. Quant au robot Magmatic, il a atteint sa cadence maximale.

    Impossible d'en acquérir un autre, faute de place. Ne voyant pas leurs médicaments arriver, les services de soins passent une seconde commande d'urgence et finissent par recevoir le double de leurs besoins.

    Problème : les produits retournés à la pharmacie ne sont pas remis dans le système.

    L'organisation initiale prévoyait un poste de travail dédié à cette tâche. Trop cher et trop compliqué !

    « Le moindre retour dans ce système demande un travail titanesque, dix minutes par produit, même pour la moindre plaquette, avec un coût en sorties papier et étiquettes parfois supérieur au médicament retourné »,

     Observent les syndicats. Résultat : des caisses de médicaments et de dispositifs médicaux non utilisées prennent la poussière dans les locaux jusqu'à ce que l'encadrement décide de faire place nette discrètement. Impossible de les donner à des associations à cause de la traçabilité.


    « Désormais, la consigne est de limiter le plus possible les retours. Mais, comme les services n'ont pas le droit de faire de stocks, le personnel est invité à emporter chez lui ce qu'il trouve utile et à jeter directement le reste des non-périmés dans les poubelles destinées aux périmés »

      Ajoutent les syndicats. Contactée par notre journal, la direction du CHU de Rennes n'a souhaité faire aucun commentaire.

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     Source Le Parisien publié le 07/06/2014

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    Du sang bleu pour avoir le sang rouge

     

    Bonjour,

    Ne trouvez-vous pas étonnant, comme moi, que la grande presse ne se fasse jamais le relais de ceux qui contestent l'efficacité des vaccins et leur nocivité. Je sais que c'est une responsabilité difficile à assumer, et je sais aussi que, lorsque nous abordons ce sujet, certains de nos lecteurs trouvent que nous sommes trop radicaux dans nos critiques.

    Mais, entre le refus brutal - qui me brûle les lèvres - et la soumission totale au programme vaccinal, il y a sans doute un moyen terme raisonnable auquel on pourrait arriver.

    N'importe quelle personne censée devrait en effet s'étonner de voir qu'un bébé - dont les parents suivent à la lettre les indications des pédiatres convaincus par la vaccination - se verra injecter pas moins de 18 vaccins ou rappels dans les 18 premiers mois de sa vie. Vous imaginez l'impact sur le système immunitaire ? D'autant que, comme l'explique très bien Thierry Schmitz dans l'article que vous lirez ci-dessous, tous les enfants sont différents. Certains résisteront au choc, tandis que d'autres seront définitivement laminés.

    De la même manière, est-il raisonnable de considérer systématiquement comme des affabulateurs ou des hypocondriaques les malades qui se plaignent de troubles nouveaux apparus juste après une vaccination ? Il y a maintenant des milliers de témoignages dans ce sens, y compris parmi le personnel médical, des dizaines de blogs de parents outrés et désespérés, des actions judiciaires un peu partout.
    Est-il normal de ne pas en tenir compte ?


    Dans ce contexte, et même si on voulait s'acharner à prétendre que tous les vaccins existants sont utiles et sans aucun danger, ne devrait-on pas hésiter à en introduire d'autres ? Or c'est exactement le contraire qui se produit. On nous fait une pub féroce pour le vaccin contre le papillomavirus alors qu'il n'a toujours pas été démontré qu'il ait pu prévenir un seul cas de cancer du col utérin (notamment parce que le papillomavirus ne provoque pas systématiquement le cancer). Et on peut prévoir l'explosion d'un scandale sanitaire sans précédent si on ne met pas fin immédiatement à sa commercialisation rapidement. On parle de vaccins à l'étude pour tout et n'importe quoi : la gastro, la bronchiolite, le cancer, l'addiction à la cocaïne... On parle même d'un vaccin prénatal... ce n'est pas sérieux j'espère. 

    J'arrive à admettre que les médecins n'osent pas critiquer la vaccination... trop dangereux.
    Je me doute des raisons qui poussent les autorités sanitaires à nier l'évidence...
    trop d'argent en jeu. Je comprends les parents qui subissent l'obligation vaccinale sans rien dire... trop de tracasseries. Mais je ne parviens pas à comprendre pourquoi les grands médias jouent encore à ce jeu de dupes (ou bien je préfère ne pas comprendre car je suis moi-même éditeur et journaliste et j'aurais trop honte si ce que j'imagine est vrai).

    Je ne comprends pas mais j'en tire une conclusion que vous partagerez sans doute : ce n'est pas dans ces médias que l'on vous dira la vérité sur les vaccins. Et si vous me suivez toujours, ce n'est pas dans ces médias là qu'on vous dira la vérité tout court, à propos de votre santé, et sans doute à propos de tout le reste.

    Alors suivez notre traitement anti-bourrage de crâne !
    La posologie : une fois par semaine la newsletter, et une fois par mois le magazine. Article que vous aurez chaque fois, sur le blog.

    Bonne lecture


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    source Alternative Santé n°95 : 

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